Une jeune entreprise entame ses débuts dans le monde du travail. Faire des choix cohérents en termes de recrutement est un pas décisif à passer. C’est aussi sur ce critère que va se jouer la production, la notoriété et la survie de l’entrepreneuriat. Le recrutement est devenu un élément clé et stratégique pour une entreprise surtout lorsqu’elle fait ses premiers pas sur le devant de la scène.
Trouver le bon talent pour sa jeune entreprise
Il y a des manières de procéder qui aident à savoir comment se préparer pour un recrutement en startup. D’abord, il faut savoir ce qui est recherché en termes de profil. Une fois que les qualités et capacités du futur employé sont déterminées, la moitié du travail est réalisée.
Cette étape permet de pouvoir passer par un intermédiaire, dématérialisé comme une application ou physique qui serait un interlocuteur. Sur site, il est possible de mettre des annonces afin d’attirer un maximum de profils concordant avec le type de poste vacant. Un interlocuteur physique, quant à lui, aura le rôle de relayeur. Il s’agit souvent d’agences d’intérim qui proposent leurs services afin de trouver le prospect adéquat.
Par ailleurs, il faut aussi évaluer les profils et compétences mises à disposition sur le marché du travail. Certaines personnes, en recherche professionnelle, publient directement des annonces de recherches d’emploi en précisant les compétences et acquis qu’elles mettent à disposition.
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Équilibre entre compétences et culture d’entreprise : un recrutement optimal
Lors d’un recrutement, un candidat doit savoir adapter sa lettre de motivation à la culture de l’entreprise. La culture de l’entreprise est un des rouages moteurs de l’activité qui est proposée sur le lieu de travail. Ainsi, un candidat qui postulerait sans prendre compte de la culture de l’entreprise risquerait de ne pas se plaire sur place et d’être contre-productif pour l’entreprise.
Une start-up ne peut pas y perdre au change. Il faut ainsi qu’elle prête attentivement à ce que les compétences du candidat soit en relation avec la culture qui est proposée par la structure d’emploi.
La culture d’entreprise peut être induite :
- directement,
- indirectement.
Entre autres, les éléments de la culture de l’entreprise sont plus ou moins visibles pour un œil externe à son activité.
Cela suppose de savoir comment s’établit le travail sur place (en espace ouvert ou dans des bureaux fermés), comment se passent les relations entre collègues et quel style vestimentaire est plébiscité. Une personne qui ne sait pas se conformer à des règles étiquetées aura, par exemple, du mal à accepter des règles trop établies et cela pourrait être un malus pour l’entreprise.
Indirectement, ce sont le style de management, l’ambiance de travail ou le mode relationnel de l’entreprise qui sont visés.
Parmi les enjeux d’une jeune entreprise : la gestion des finances
Lors de ses débuts, une entreprise n’exerce pas depuis suffisamment longtemps pour avoir généré des profits de taille. Pour se faire un nom et développer son activité, elle bénéficie d’une trésorerie de départ. Cette trésorerie sert à couvrir tous les frais et dépenses que l’activité doit couvrir.
Parmi ces frais, le recrutement d’un nouveau membre est un critère à prendre en compte. L’emploi futur d’une personne ne se fait pas sans supposer un versement de salaire à la clé. De ce fait, il est primordial que les fonds de l’entreprise soient suffisants pour couvrir la promesse d’emploi réalisée lors du recrutement.
La gestion des finances doit être minutieusement établie. Un besoin en fonds de roulement, ou BFR, est souvent constaté après une période d’activité. Il s’agit d’un décalage financier engendré par les décaissements et les encaissements de l’entreprise.
Lors d’un lancement d’activité, une entreprise se voit généralement refuser tout type de financement par les banques et le BFR ne permet pas de tout couvrir. Si c’est le cas, il est possible de solliciter un prêt d’honneur.